Le 28 mars marque la Journée mondiale de lutte contre l’endométriose, une occasion essentielle pour sensibiliser et informer sur cette maladie qui touche 1 personne menstruée sur 10.
Encore trop méconnue, elle est pourtant source de douleurs intenses et d’un impact profond sur la qualité de vie.
Une maladie aux multiples visages
L’endométriose ne se résume pas à des règles douloureuses ! Elle peut provoquer :
✔ Douleurs pelviennes chroniques
✔ Troubles digestifs et urinaires
✔ Fatigue intense
✔ Difficultés de fertilité
Chaque personne atteinte vit la maladie différemment, avec des symptômes d’intensité variable.
Vous pouvez retrouver notre article qui traite des différents symptômes juste ICI !
Une pathologie inflammatoire et hormonodépendante
L’endométriose est due à la présence anormale de tissu semblable à l’endomètre en dehors de l’utérus. Ce tissu réagit aux cycles menstruels sous l’effet des hormones, entraînant inflammations et lésions. Cette caractéristique rend la maladie complexe à appréhender et difficile à traiter de manière définitive.
Chaque endométriose est unique
Il existe plusieurs formes d’endométriose :
- Superficielle : présence de lésions à la surface du péritoine
- Ovarienne (endométriome) : kystes remplis de sang sur les ovaires
- Profonde : atteinte des organes pelviens (vessie, intestins…)
- Adénomyose : infiltration du tissu endométrial dans la paroi utérine
La gravité des symptômes ne dépend pas forcément de l’ampleur des lésions, ce qui rend le diagnostic encore plus complexe.
Un diagnostic encore trop long
Malgré sa fréquence, l’endométriose reste sous-diagnostiquée. Il faut en moyenne 7 ans pour qu’un diagnostic soit posé, après de nombreuses errances médicales. Ce retard s’explique par :
⏳ Un manque de formation des professionnels de santé
⏳ Une banalisation des douleurs menstruelles
⏳ Des examens parfois inadaptés (échographies, IRM mal interprétées)
Des progrès sont faits pour améliorer le dépistage et la reconnaissance de la maladie, mais il reste encore du chemin à parcourir.
Pas de traitement unique, mais des solutions existent
Actuellement, il n’existe pas de remède définitif, mais plusieurs options permettent de soulager les symptômes :
💊 Traitements hormonaux : bloquer les règles pour limiter l’inflammation
🔪 Chirurgie : retirer les lésions en cas de douleurs invalidantes
🧘 Gestion de la douleur : antalgiques, physiothérapie, ostéopathie, acupuncture, sophrologie…
🥗 Alimentation anti-inflammatoire : limiter le gluten, les produits laitiers et favoriser les oméga-3 (retrouver notre article traitant des aliments à privilégier pendant les règles ICI)
🤝 Suivi pluridisciplinaire : gynécologues, kinésithérapeutes, nutritionnistes, psychologues…
L’endométriose et les protections menstruelles : pourquoi Blooming peut vous aider
Chez Blooming, nous savons que les protections hygiéniques jouent un rôle clé dans le confort des personnes atteintes d’endométriose. Nos culottes menstruelles fabriquées et brevetées en France offrent une alternative douce et sûre, sans produits chimiques susceptibles d’aggraver l’inflammation.
> Zéro perturbateurs endocriniens
> Un confort maximal, sans irritation
> Une absorption efficace pour affronter les flux abondants (et voici notre article pour choisir au mieux sa culotte pour règles abondantes !)
Parce que chaque personne souffrant d’endométriose mérite une solution respectueuse de son corps, nous restons engagés à innover et à soutenir cette cause.
Pour en savoir plus sur l’endométriose et accéder à des ressources utiles, consultez ces liens :
👉 EndoFrance
👉 Santé Publique France
